Pandémie saison deux.

Une lumière pointe au bout du tunnel, nous dit-on.

Certains, sous couvert d’une nouvelle agence spatiale touristique, convoitent en secret la planète Mars. Il ne faut pas craindre l’utopie, et amasser énormément d’argent pour s’y lancer. Ils s’y attellent sur notre dos, « à l’insu de notre plein gré », je caricature ici Richard Virenque, héros du tour de France 1998, dont nous ne le remercierons jamais assez pour cette formule. Mars ? C’est un peu fou.

Pour beaucoup d’autres, il est temps de s’interroger : m’engager plus pour une véritable écologie, revoir mon implication dans mon travail, construire de meilleures relations avec mon entourage, être attentif à ma santé, etc. C’est plus raisonnable.

J’ai passé cette première semaine de février en Bourgogne, en compagnie d’une douzaine de personnes, dans un petit village loin de tout. Le matin, deux temps de méditation lancés par une vocalise d’ensemble improvisée, pendant trois minutes, sur AAAAAAOOOOOOOUOUOUOUMMMMMMM…. . C’est aussi un peu fou. Mais si vous en avez l’occasion, ajoutez-le à la raison.