MOKUHAN

Le bleu-ardoise de la nuit soupoudre de l’aube entre les pieds nus du moine. Il s’arrête. Un marteau de bois allonge son bras maigre, il frappe le Mokuhan.

Toc, toc, toc.

Dans l’obscur du Zendo, un diaphragme étouffe un sanglot. Un autre compte: sept, cinq, trois.

Je suis là, telle chose m’arrive.